Au cœur d’une forêt brumeuse, à l’aube d’un matin d’automne, une silhouette se dessine. Vêtu d’un gilet orange vif, fusil à l’épaule, Jean-Pierre arpente les sous-bois qu’il connaît comme sa poche. Mais aujourd’hui, ce n’est pas le gibier qu’il traque. Carnet à la main, il note méticuleusement ses observations : ici, les traces d’un chevreuil ; là, le chant d’un oiseau rare.